G.I.E.P.
La gestion intégrée des eaux de pluie, est un des objectifs des politiques européenne et nationale. Les enjeux sont multiples et nous concernes tous à des degrés variables.
Lorsque les réseaux de gestion des eaux se déversent dans le milieu naturel, c’est la concentration de nos polluants qui abime de façon durable l’environnement. Mais c’est également l’augmentation des surfaces imperméables qui multiplie les volumes d’eau rejeté dans ces même milieux.
L’imperméabilisation des sols à pour premier effet l’augmentation des volumes d’eau à gérer. Mais la bonne conduite des eaux est conditionné au fait que les collecteurs soient suffisamment grand pour les avaler. Ce qui aujourd’hui est loin d’être le cas. Ce mauvais dimensionnement Augmente l’impact potentiellement dévastateur des débordements et inondations.
Le second effet tient dans la résolution de ce sous dimensionnement. La collectivité doit changer les collecteurs. cela engendre des travaux de voirie coûteux payé par le contribuable.
Le troisième effet de cet export des eaux de pluie est l’assèchement des sols. Sols qui soutienne nos infrastructures comme nos habitations. Les sols se rétractent, mais lorsque l’eau arrive en grande quantité, les sols se gonflent. le bâti subi directement ces changement d’états et finis par se fissurer ou céder. C’est cet effet dit de retrait/gonflement qui est aussi à l’origine de la création de cave et d’effondrement du sous sol.
Les solutions à tous ces problèmes existent.
Nos articles sur le sujet :
Faire sans le réseaux des eaux pluviales | TerraSalica.fr |
Gestion intégrée des eaux pluviales | TerraSalica.fr |
Le jardin de pluie | TerraSalica.fr |
Bon à savoir:
L‘eau de pluie devient eaux « pluviales » lorsqu’elle entre dans des dispositifs dédiés (infiltration, stockage, transport, traitement éventuel); elle interagit alors avec les eaux souterraines et les autres réseaux.
Les eaux dites « de pluie » correspondent aux eaux pluviales collectées après les toitures.
Les eaux dites « de ruissellement » sont définies non pas à partir d’un processus physique d’écoulement sur une surface, mais comme la partie de l’écoulement qui n’est pas « gérée » par des dispositifs dédiés.
L’artificialisation est définie comme l’altération durable de tout ou partie des fonctions écologiques d’un sol, en particulier de ses fonctions biologiques, hydriques et climatiques, ainsi que de son potentiel agronomique par son occupation ou son usage5
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L’imperméabilisation des sols désigne le recouvrement permanent d’un terrain et de son sol par un matériau artificiel imperméable (asphalte ou béton, par exemple), notamment lors de la construction de bâtiments et de routes6
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La gestion durable des eaux pluviales est un mode de gestion visant à limiter au maximum le ruissellement des eaux pluviales, en ayant par exemple recours à des solutions favorisant leur infiltration.